Je voudrais boire à son cœur de nuage
L’orage des Dieux de l’Orient, le sang
Rédempteur qui crie dans le soir éblouissant
Pour le Pauvre et la Femme sans âge.
*
Son regard a l’odeur du cerisier
Qui transforme en poussière l’Eternité
Sous les sabots que portent les alizées
Jusqu’au fond de son jardin sombre et fruité.